Par Sarah E. Community Management & Stratégie Marketing
Publié le 16 décembre 2021
L’IA ou Intelligence Artificielle devient omniprésente dans notre quotidien. Elle intègre le monde du travail, de la santé, de l’économie. Mais encore, elle s’infiltre chez chacune de notre mode de vie à travers le Smartphone et les objets connectés. Si elle a été inventée, c’est pour générer plus d’avantages que d’inconvénients. Est-ce que c’est vraiment le cas ?
L’IA soutient et optimise la médecine
L’intelligence artificielle est très pratique pour analyser les imageries médicales. Son adoption fait gagner du temps précieux pour localiser certaines tumeurs. La précision qu’elle apporte, quoiqu’imparfaite, ne s’éloigne pas trop de celle des médecins.
Mais son atout majeur, c’est la permanence de sa fonctionnalité. L’IA travaille 24/24, sans se fatiguer.
L’intelligence artificielle favorise l’inclusion
Puis, La robotisation ne permet pas de juger les gens selon les apparences. De ce fait, les personnes en situation de handicap se sentent moins exclues en l’utilisant. Il n’y a aucun jugement, l’accueil et la prise en charge sont la même pour tous.
Puis, l’IA facilite considérablement la vie des personnes à mobilités réduites grâce à la reconnaissance vocale, à la transcription et à la traduction.
Le L’IA corrompt l’interaction humaine
L’IA facilite la communication, certes. Mais en la privilégiant, les hommes communiquent moins entre eux. Tout devient virtuel et machinal. Cela fait perdre le côté humain des échanges.
Le fait de se familiariser aux machines dissocie les hommes de la société. Ils prennent exemple sur les fonctionnements des robots, puis adoptent des comportements robotiques.
L’IA piétine certaines éthiques
C’est là l’inconvénient majeur de l’adoption non contrôlée de l’IA. L’éthique sociale et économique est compromise en se référant seulement au taux de chômage engendré par l’utilisation de l’IA.
Les entreprises commerciales préfèrent l’intelligence artificielle aux conseillers clients. Cela réduit à moitié leurs dépenses destinées aux salaires de ces agents.
